En. "Ouissem Moalla (born in Stockholm in 1990) works on the relationship between the collective imaginary and language. His artistic projects are based on the history of sensibilities and mentalities in a variety of spatial and temporal contexts. He questions psychological relationships to the environment, to materials, to forms, to time and more generally, to the various components of the living world.

His work parallels the performative act and ritualization of the production process through imaginary languages. He summons up the body, materials and movement in space using

heterogeneous components."

 

 

Fr. "Ouissem Moalla (né à Stockholm en 1990) travaille sur les relations entre imaginaire collectif et langage. Ses projets artistiques s'appuient sur l'histoire des sensibilités et des mentalités dans des contextes spatiaux et temporels variés. Il questionne les relations psychologiques à l'environnement, aux matières, aux formes, au temps et plus généralement aux divers composants du vivant. 

Son œuvre met en parallèle acte performatif et ritualisation dans le processus de production au travers de langages imaginaires. Il convoque à la fois le corps, les matériaux et le mouvement dans l’espace à partir de composantes hétéroclites."

Workshop : ÉPHÉMÉRITÉ

Participant : classe de 3e du Collège Du Nonnenbruch de Lutterbach

Du 08 janvier au 05 février, nous nous sommes rencontrés durant 5 séances de 4 h pour menée un Workshop sur "l'art éphémère ". Fuyant la mode du street-art, nous nous sommes tourné vers la nature et avons commencé par nous intéresser aux travaux Land-Art d'Andy Goldsworthy. Malgré le froid cinglant du mois de janvier, nous nous sommes jeté dans la Forêt du Nonnenbruch aux alentour du village de Lutterbach en Alsace et avons décidé d'y faire quelque chose, d'y laisser une trace que le temps emportera. Munis de cordes en chanvre nous avons tendu entre quelques arbres un périmètre au milieu de nul part. La question était qu'allons, nous faire ? 
La direction nous a été montrée par les arbres eux même, qui disposé comme une constellation suggéraient la forme d'un navire. Nous étions tous d'accord qu'un navire en pleine forêt : "C'est tout à fait logique". Ainsi, chaque matin, nous nous retrouvâmes à 8 h du matin, glanant du bois de part et d'autre, l'assemblant grâce à nos fines cordes. À la fin de ce workshop éprouvant nous n'étions pas déçu. Munis de notre chocolat chaud dans notre immense navire nous étions conquis par notre travail, c'était l'effet mérité.
Ouissem Moalla

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